lundi 14 octobre 2013

Ken Follett : Paper Money


4 DE COUV

Londres, années 1970. Un homme politique s’éveille au côté d’une rousse sulfureuse, tandis qu’une Rolls-Royce guette au pied de l’immeuble. Au même moment, un mafieux rassemble ses hommes de main et un magnat de l’édition décide de se retirer des affaires. Alors que le soleil se lève, leur vie va basculer. Détournement de fonds, chantage, tentative de suicide, OPA, tirs de chevrotine… Des événements en rafale, sans rapport apparent, que les journalistes de l’Evening Post parviendront à recouper de justesse en une seule et même histoire pour l’édition du soir. Ils ne se connaissent pas tous mais, avant le crépuscule, tous seront emportés dans la course folle d’un convoi de billets de banque…

Mon Avis personnel 

Comme le laisse présager le résumé ci-dessous l'intrigue se situe dans le londres ( La city!) des années 70', dans les hautes sphères que ce soit la politique, le monde de la finance, et celui du journalisme. Ken Follett parvient magistralement à faire vivre cette atmosphère de mondes corrompus, les personnages ne sont pas attachants mais ce n'est pas le but recherché, ils ont tendance à ne jamais laisser paraître leurs émotions et sont prêts à tout pour arriver à leur fins.

Que ce soit en 2013 ou en 1970 les choses n'ont pas rééllement changer les gens sont prêts à tout pour la réussite sociale et l'argent. Les personnages sont très nombreux et abordés de facon superficielle, leur actions et la chronologie de celle-ci sont par contres trés soignée.

On découvre vraiment un monde loin de notre quotidien, maître chanteur, arnaque, pression sur les journaliste, bref le monde financier. Mais, car il y a un mais, ce roman m'a néanmoins pas mal déçu, l'auteur si il réussit parfaitement à mettre en place un décor et à décrire ce monde, il n'arrive que mollement à mettre en place une intrigue, et le tout tombe un peu à plat, c'est mou, et on assiste à une histoire plus qu'on ne la vit.

Décrire un monde est intéressant certes, mais l'action reste le plus important donc ce livre ne m'a pas beaucoup parlé.

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