L'histoire
Baby, you cut my heart out
Baby tu m'as arraché le cœur chantait le Nazgûl
Baby, you made me bleeeeed !
Baby tu m'as fait saigneeeer !
Il ferma les yeux et écouta, et c'était presque comme si une décennie s'était soudain envolée, comme si West Mesa n'avait jamais eu lieu, comme si Nixon était encore à la Maison Blanche et que la guerre du Viêt-nam faisait toujours rage et que le Mouvement était encore bien vivant. Mais quelque part, parmi les lambeaux de ce passé, une chose demeurait la même : Jamie Lynch était mort. Et on lui avait bel et bien arraché le coeur...
Jamie Lynch, alias « Sauron », l'ancien imprésario du Nazgûl.
Le Nazgûl, ce groupe mythique de la fin des années soixante, dont le chanteur Patrick Hobbins fut, on s'en souvient, abattu par un tueur inconnu lors du tragique concert de West Mesa, le 20 septembre 1971, jour qui devait marquer la fin d'une époque. Celle du Flower Power et de l'engagement contre la guerre du Vietnam, des drogues psychédéliques et de l'ultra-gauchisme, de la libération sexuelle et du zen macrobiotique, des communautés et des universités.
Le Nazgûl, qui vient de se reformer et part en tournée pour faire résonner à nouveau le Rag de l'Armaguedon. Ancien journaliste dans l'underground reconverti dans le roman, un peu paumé dans les années quatre-vingt, Sandy Blair décide d'enquêter sur le meurtre. Et cette enquête va le transformer en acteur d'un drame dicté par la partition du célèbre album du Nazgûl, Musique à réveiller les morts... Mais qui manipule le groupe ? Et qui a décidé de faire renaître la Révolution aux États-Unis ?
Baby tu m'as arraché le cœur chantait le Nazgûl
Baby, you made me bleeeeed !
Baby tu m'as fait saigneeeer !
Il ferma les yeux et écouta, et c'était presque comme si une décennie s'était soudain envolée, comme si West Mesa n'avait jamais eu lieu, comme si Nixon était encore à la Maison Blanche et que la guerre du Viêt-nam faisait toujours rage et que le Mouvement était encore bien vivant. Mais quelque part, parmi les lambeaux de ce passé, une chose demeurait la même : Jamie Lynch était mort. Et on lui avait bel et bien arraché le coeur...
Jamie Lynch, alias « Sauron », l'ancien imprésario du Nazgûl.
Le Nazgûl, ce groupe mythique de la fin des années soixante, dont le chanteur Patrick Hobbins fut, on s'en souvient, abattu par un tueur inconnu lors du tragique concert de West Mesa, le 20 septembre 1971, jour qui devait marquer la fin d'une époque. Celle du Flower Power et de l'engagement contre la guerre du Vietnam, des drogues psychédéliques et de l'ultra-gauchisme, de la libération sexuelle et du zen macrobiotique, des communautés et des universités.
Le Nazgûl, qui vient de se reformer et part en tournée pour faire résonner à nouveau le Rag de l'Armaguedon. Ancien journaliste dans l'underground reconverti dans le roman, un peu paumé dans les années quatre-vingt, Sandy Blair décide d'enquêter sur le meurtre. Et cette enquête va le transformer en acteur d'un drame dicté par la partition du célèbre album du Nazgûl, Musique à réveiller les morts... Mais qui manipule le groupe ? Et qui a décidé de faire renaître la Révolution aux États-Unis ?
Mon Avis
Etant un grand fan de ce qu'a fait Monsieur Martin avec la saga Game Of thrones ( et ses spin off) c'est tout naturellement que je me tourne vers ses autres livres pour voir ce qu'il fait à côté.
Ce livre m'a pas mal dérouté, car au début on me l'a présenté comme un polar avec un meurtre et une enquête criminelle faite par un ex-journaliste de rock, mais en fait ce n'est absolument pas le propos du livre.
Certes cela commence bien par le meurtre de l'imprésario d'un groupe de rock, mais cela n'est qu'une excuse pour permettre au journaliste/écrivain en question de revivre ces années folles 60-70 et faire renaître son amour du Rock N Roll, il 'est plus question de la libération sexuelle, du rock, de la drogue et de ce qu'ont été les années 60 /70 pour toute une génération aujourd'hui désabusée que de parler d'une enquête criminelle.
C'est un propos qui aurait pu rester intéressant mais...car malheureusement il y a un mais, cela tourne en surnaturel, en fantastique un peu foireux avec pas mal de morale du style la guerre c'est pas bien, la paix c'est cool, on est pas obligé de mûrir et de devenir sérieux et tout, qui fait que pour moi ( et la pour le coup c'est très personnel) cela tombe très fortement à plat.
Je pense donc que dorénavant je me limiterais à tout ce qui tourne autour de Game Of Thrones pour cet auteur, ce qui n'est il faut bien l'avouer déjà pas si mal.
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