L'histoire
A trop désirer la mort, on y brûle son âme...
Paris, 1900. Prisonnier de son succès, un écrivain décide de tout quitter pour entrer au plus profond de ses cauchemars, de ses abysses, explorer ce qu'il y a de pire en lui. Dans ce terreau de peurs se cache la matrice des monstres enfouis en chacun de nous.
Un léviatemps d'ombres, un golem de violence...
Guy de Timée voulait déterrer la fange, il va rencontrer le mal.
Des cercles ésotériques de la capitale aux démesures de l'exposition universelle, le début du XXème siècle inspire à Maxime Chattam un thriller halluciné ou les progrès de la science nourrissent al folie des âmes perdues en quête d'éternité.
Mon Avis
Ce livre est un peu différente de ce que fait Maxime Chattam habituellement, on à l'habitude de le voir dans un registre très moderne où les meurtriers ainsi que la police utilise des technologie de pointe et vive dans des milieux urbains de l'heure actuelle, hors pour ce roman il prends le contre pied parfait de ce qu'il fait habituellement car l'histoire prends place dans le paris de 1900 en pleine exposition universelle...
C'est très important pour le récit, et selon moi c'est à la fois un point fort et un point faible de ce roman, point fort car ça permet de faire découvrir ce qu'était Paris à cette époque ( et pas que sa splendeur, la misère de certains quartiers également) mais aussi un point faible car au final, on retient beaucoup plus la vision de Paris de l'auteur dans ce roman que ce qui se passe réellement et l'enquête en cours...
Comme vous pouvez le déduire je n'ai pas vraiment été séduit par ce roman, l'histoire est sympa, le roman est bien écrit, cela se lit facilement mais je n'ai pas été pris par l'histoire, je l'ai trouvé bien moins prenant que les autres romans de cet auteur, et j'ai trouvé également l’histoire un peu trop centrée sur le côté écrivain du personnage central (peut-être un trip corporate :D)
Rassurez vous, le livre reste bon, c'est juste qu'on attend tellement plus d'écrivains de la trempe de Maxime Chattam ! D'ailleurs j'ai beaucoup plus accroché à ces romans récents donc il n'y a aucun soucis à se faire chez lui, juste une parenthèse qui me concernait moins que ces autres écrits...
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